Une chercheuse du CNRS Florence Gazeau qui travaille dans le laboratoire public « Matière et Systèmes complexes » est venue nous parler de son métier. Dans ce laboratoire, les scientifiques travaillent sur les molécules, les cellules, les tissus, les organes etc.

Leur équipe est composée de 70 chercheurs et enseignants, 16 ingénieurs et techniciens, 64 post-docs et étudiants en thèse.
Les chercheurs se posent de nombreuses questions auxquelles ils souhaitent répondre. Pour cela, ils établissent des hypothèses à partir desquelles ils commencent leurs activités de recherche.
Les activités de recherche sont de plusieurs types : observations, expérimentations et modélisations. Ces activités permettent d’obtenir des résultats qui vont être interprétés afin de conclure quant à la validité des hypothèses de départ.
Florence Gazeau est venue nous parler des nanoparticules et de leur devenir dans les organismes.
Les nanoparticules magnétiques ou nanoaimants sont très présents autour de nous. On en retrouve chez certains organismes comme au niveau de la région frontale du saumon, chez l’oiseau, l’abeille… et chez certaines bactéries comme « Magnetospirillum magnetotacticum ». Chez l’homme, on en retrouve dans le cerveau.
L’équipe de Florence Gazeau cherche à connaître le devenir et à manipuler des nanoaimants dans les organismes vivants afin d’améliorer les traitements médicamenteux et même de les personnaliser. Une application des nanoaimants pourrait permettre de chauffer les tumeurs afin de les éliminer.
Cette rencontre m’a plu mais ce n’est pas un des métiers que je voudrais faire car je pense que les nanoparticules peuvent être dangereuses pour nous à part si on sait bien les manipuler.
Océane 1ère STL